Droit de reproduction des photos, mentionner © Ville Hybride
« Je remercie Giliane Poupault, DRH à la Caisse Centrale de la MSA d’accueillir le Club Ville hybride-Grand Paris dans ses locaux flambants neufs. Le président Gérard Cosme et l’ensemble des élus d’être présents parmi nous. Et l’ensemble des services d’Est Ensemble et des collectivités du territoire pour m’avoir accompagné dans l’organisation de cette demie journée.
Une première partie se déroule donc ici à la CCMSA. Une seconde partie est dédiée à la visite des périmètres de projets. Et enfin une dernière partie à l’Institut de recherche pour le Développement à Bondy pour un temps d’échanges entre élus et porteurs de projets.
Une première édition du Club Ville hybride-Grand Paris à Est Ensemble s’était tenue en mai 2016 pour mieux comprendre les spécificités et les projets des différents territoires d’entrainement.
L’édition d’aujourd’hui se concentre davantage sur les projets de développement économique du territoire, comment ceux-ci viennent s’hybrider avec leur environnement urbain.
Nous allons donc nous rendre dans quatre contextes urbains emblématiques, qui concentrent les différents enjeux du développement économique du territoire d’Est Ensemble, ou plutôt cinq en comptant celui où nous sommes :
Le premier avec l’implantation d’un grand-compte le long de la Plaine de l’Ourcq aux franges de trois communes : Pantin, Bobigny, Romainville.
Le second est consacré à la redynamisation d’un quartier du Pré Saint Gervais en s’appuyant, en accompagnant les acteurs de l’artisanat.
Le troisième site correspond à un enjeu de mutation d’une zone d’activité aux abords d’un Quartier Politique de la Ville, aux franges de Bagnolet et de Montreuil, à la Noue.
Le quatrième site c’est la structure Mozinor, dans le haut Montreuil, face aux murs à pêche, qui concentre des acteurs qui excellent au niveau international dans leur filière d’activité (Carafont, Enzyme…).
En enfin le cinquième site à l’IRD à Bondy pour vous montrer une autre spécificité de l’innovation à Est Ensemble.
La mutation de ces pans de ville ne peut pas se faire par une approche immobilière classique. Elle demande de mettre au défi les règles de l’urbanisme et de l’architecture pour répondre aux enjeux des projets. De comprendre finement l’existant, les spécificités des modèle économique et les modes de fonctionnement de ces acteurs économiques – artisans, PME d’excellence, start-up tournés vers l’innovation d’usages. En comprenant aussi les spécificités de leur contexte urbain. En créant en amont les partenariats avec les acteurs publics, académiques, économiques, associatifs, et leur prolongement dans les montages juridiques et financiers. Enfin et surtout, en décloisonnant les approches.
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